Bonjour,
En ce qui concerne le débat du côté énergétique le mieux reste d'optimiser nos "énergies renouvelables". Je suis sur qu'en cherchant on peut trouver, tenez regardez cet exemple, selon moi il y a quand même des terrains à exploiter non?
http://videos.tf1.fr/jt-20h/autarcie-energetique-au-refuge-de-sarenne-6898247.html En ce qui concerne le débat sur la famine en Afrique, je manque considérablement d'expérience mais j'ai quand même un avis relativement construit (enfin j'espère). Sachez que je me comprends moi aussi dans cet rédaction lorsque je désigne "nous" ou "on"
Ce qui est le plus choquant selon moi dans cette famine est cette magnifique propension qu'ont les gouvernements à en parler... en période électorale. Réellement rien de concret n'est fait, tout simplement parce qu'on s'en désintéresse: lorsqu'une catastrophe se produit, tout le monde exulte et on veut changer les choses... et puis on oublie. Je ne me place pas comme un grand manitou qui dit que ceci n'est pas bien et que cela est tabou, j'ai conscience de mon égoïsme qui se partage avec une grande partie des pays du Nord. Est ce que de savoir que des enfants meurent de faim quand j'entame mon paquets de biscuits par pure gourmandise m'empêche de manger? Aucunement tout simplement parce que les hommes sont cons (et moi aussi) comme déjà dit précédemment. De plus ils font preuve d'un désintérêt des plus total (
attention, il existe réellement des personnes engagées et tout à fait généreuse et cela autour de nous).
Aussi ce désintérêt peut être provoqué par le formatage qui nous est inculqué depuis le plus jeune âge... c'est sur qu'on se rend moins compte de la pauvreté humaine en naissant dans des couches propres qu'en naissant dans un ghetto ou autre...Il faut se le dire, nous sommes des moutons plus ou moins conscients dans tout les cas, on est tous attaché à nôtre petit confort et le fait d'en être séparé est à nos yeux terrible alors que le quart de ce qu'on a, est juste une sorte de rêve américain pour des populations malmenées. Après, est ce qu'il faut culpabiliser? Sommes nous coupables d'avoir eu la chance d'être né au bon endroit? Non mais nous sommes tous coupables de ne rien faire pour que ça change. Après la question qui se pose est "quoi faire?" et de toutes façons ce n'est pas une nouveauté si je dis que quoi qu'il se passe la société actuelle mettra automatiquement des bâtons dans les roues des actions humanitaires.
C'est, en effet, cette société qui avec du recul me dégoute. Loin des valeurs régnant sur nos jolies banderoles ornées de rouge de bleu et de blanc, c'est surtout trois autres mots qui apparaissent "Égoïsme, Profits, Argent". Sérieusement, nous vivons dans un monde d'inégalités ou les plus riches "gagnent" pour ne pas dire reçoivent des sommes excessivement élevées chaque mois. Ces mêmes personnes qui licencient pour la moindre diminution de croissance et qui délocalisent parce qu' être riche c'est bien mais qu'avoir de la fortune à ne plus savoir quoi en faire c'est mieux, ces mêmes personnes qui fuient les banques françaises dès qu'une mesure sociale est mise en place, ce qui leur ferait perdre quelques millions d'euros. Cela est sur que prendre l'exemple des riches est un peu facile mais réellement qu'en est il? Les économies capitalistes ont besoin de ces masses d'argents ambulantes prêts a redorer les marchés financiers à l'aide d'un investissement colossal.
Et oui, plutôt que de se serrer la main et d'instaurer une politique sociale mondiale ( une politique sociale a l'échelle d'un pays n'étant pas suffisante du à la mondialisation ) on rentre dans une économie de marchés liée à la compétitivité plus qu'autre chose. Alors on a peur de perdre nos grandes fortunes. Nous sommes dans un société ou le but n'est pas de vivre mais de travailler pour la fortune du pays afin d'avoir un taux de croissance positif et tout cela au dépends d'un facteur humain. C'est tellement mieux de mourir dans un cercueil doré plutôt qu'entouré de ses proches et du bonheur qu'on leur a apporté. Pareil, une mesure humanitaire n'est pas possible lorsque les hommes préfèrent s'enrichir plutôt que faire vœu de générosité, c'est ainsi qu'a travers nôtre individualisme on arrive a oublier que les hommes vivants dans des pays défavorisés sont comme nous. D'ailleurs, à mes yeux le mot pays n'est qu'une des bases de nos ségrégation, a vouloir toujours se différencier des autres pour être les "meilleurs", ce mot ci nous fait oublier que nous sommes une communauté humaine plutôt que des ensembles patriotiques. Alors on agit mais seulement quand il est tard (intervention au libye ) ou trop tard. Aussi on se voit jouer nos avenirs dans des sommets qui ne durent qu'une semaine tout au plus, et enfin aucune décision n'est prise. Plutôt que de traiter d'économie individuellement, il serait préférable d'entretenir et de créer une communauté politique mondiale, ce qui nous rapprocherais certainement plus d'une solidarité que de la xénophobie que l'on peut voir lorsqu'il est question de pays.
Cela demeure pourtant impossible: les taxes cités précédemment ou les mesures sociales n'étant pas acceptée à l'échelle mondiale, voire pas du tout. Aussi nous sommes embrigadés, les informations peuvent être déformées aisément. Cependant nos droits ont changés depuis les dictatures: les dictatures disaient plus ou moins explicitement mais toujours aussi efficacement de "fermer nos gweules", aujourd'hui les dirigeants de démocratie préférent appliquer la théorie du "on ne vous entends pas".
Je sais que c'est mon propre avis et qu'au final il doit être truffé de fautes mais je manque d'expérience... Le problème restant est le "comment agir dans un monde pareil?"