Pouvoir te tenir contre moi,
enfin laisser glisser mes doigts,
Parcourant ton corps avec déléctation,
Te laissant enfin produire des sons,
Si doux mais pourtant graves,
Accordant ma voix suave,
Ce n'est plus une image,
Que de pouvoir extérioriser ma rage,
Dans ces notes qui jamais ne dorment,
Traduisant la compléxité de l'Homme,
De ne pouvoir jamais tout controler,
De laisser la musique se dechainer...
De toute ta longueur,
J'y trouve mon bonheur,
Le plaisir de partager,
Et l'envie de créativité,
Une bien facheuse ruse,
Que de retrouver ma muse,
Et de cet instrument,
Y retrouver tout mes penchants...
Le bonheur d'un accord parfait,
Car bien rempli d'erreur il est fait,
Mais l'important n'est plus présent,
C'est la musique qui compte maintenant...
Oh là, faut que je m'y remette un bon coup moi là, j'ai vite fait ça, ba oui, y'en a qui sont en cours, et comme là je dois filer, je compte pas arriver en retard chez moi voyons!
Ah la jeunesse...