Ah oui, je voulais aussi dire à charlichou, éventuellement, de se laver les oreilles avant d'aller à un festoche.
Le présence de Benoît est énorme, dans Pleymo. La basse y a un rôle prépondérant (un peu moins aujourd'hui, soit), pour ne pas l'entendre il faut vraiment se boucher les oreilles.
Je ne suis pas adepte du "je critiquerai quand je saurai faire ça", car la critique et l'art sont deux métiers différents. On ne demande pas aux entraîneurs d'athlètes de haut niveau de savoir courir plus vite que leur ahtlète... mais simplement, d'avoir assez d'expérience et de connaître suffisamment le domaine pur savoir quoi lui conseiller.
Une critique de cinéma n'est pas un cinéaste, mais son expérience dans le domaine lui permet de faire en quelque sorte "inspecteur des travaux finis", sans être péjoratif. Il faut des critiques, ce sont les critiques qui font avancer, sans elles on ne fait que se complaire dans sa médiocre béatitude.
C'est très difficile de faire une vraie critique (il paraît même que certains en ont fait leur métier !), mais c'est possible.
Dire "c'est de la merde", ou "c'est commercial", ça ne fait pas avancer le schmib.. chsi... shim... le truc.
Par contre, constater que leur approche a changé, et dire *modestement* que leur musique ne transmet plus les même émotions, oui c'est faisable. Je crois que le plus important là-dedans, c'est surtout la modestie, car il ne faut pas laisser sous entendre "moi je ferais mieux", mais simplement "ils sont capables de bien mieux".
Enfin, c'est mon point de vue.