Concert de Porcupine à Paris !

 J'en remets une couche :

hop

 Ça n'est que justice, en même temps

 'tain ! Quelle claque ! 2 heures de pur bonheur !

   Désolé pour la piètre qualité des photos; de là où j'étais et compte tenu de l'ambiance feutrée avec peu d'éclairages directs sur la scène, pas fastoche de faire des tofs corrects avec un apn cheap.

Le moins qu'on puisse dire, c'est qu'on a très bien entendu la section rythmique. Colin Edwin et Gavin Harrison était très en avant dans le mix (on va pas s'en plaindre).







Stacks EBS



Les basses du Monsieur:
1 Wal frettée, 1 Wal fretless, 1 Spector, 1 Basslab



le maître des lieux pour la soirée





Comme toujours, j'ai trouvé que la qualité sonore était au RDV. Pas de bourdonnement dans les oreilles à la sortie du concert; merci les protections -20db

Colin Edwin: attitude très cool du mec qui prend son pied sans faire chier le monde et surtout, très gros son.

 Ouais, ces gars là ne payent leur place assez cher. M'enfin bon, chacun est libre de vivre le concert comme il le souhaite. C'est pas pire que les jeunes guignols qui bavardaient près de moi pendant la 1ère partie de de Robert Fripp; on peut ne pas aimer ou trouver ça nul, sans pour autant gêner ostensiblement ceux qui apprécient.
D'avantage que les petites réflexions d'après concert, c'est ce genre de comportements qui m'exaspère (et me chagrine ).
Cela étant, je ne sais pas si c'est la magie de l'Olympia qui en est en partie responsable, ce concert valait vraiment le déplacement; il y régnait une ambiance assez particulière pendant un temps, aussi sombre et nostalgique que l'esprit et la musique de Steve Wilson.