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J'ai un peu honte mais je demande quand meme...

#1
01/09/2004 13:01:40
Qui connait la recette complete du Doner Kebab avec sauce blanche ?????
ça mettra peut-etre fin à ma ruine estivale......
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#2
01/09/2004 13:09:50
j'ai cherché, tu va sur google en tapant Kebab et recette et tu aura ton bonheur

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#3
01/09/2004 13:09:57
C'est de la viande de veau ....

et la sauce c'estune sorte de Tzaziki :

Yahourt (2)
Crème fraiche (2c à s)
Ciboulette fraîche finement ciselée
1/4 concombre rapé
2 gousses d'ail pressées
Sel et poivre
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#4
01/09/2004 13:10:18
a mon avis tu vas au magasin pres de chez toi qui vend des kebabs tu fait style l'etranger anglais qu'en a jamais manger et tu demande la recette mais a mon avis pour faire la viande ca va etre dur ca doit etre mariné ds je c pas quoi mais bon essaye qd mm
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#5
01/09/2004 13:10:59
Emerald = fin gourmet
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#6
01/09/2004 13:13:13
Justement, on tombe sur supertoinette, et chacun dit la sienne, en plus on confond le Doner avec le Chich Kebab...

Emerald, trop fort ta sauce . Merci
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#7
01/09/2004 13:18:08
shish kebab = morceaux de viande grillés à la broche

doner kebab = viande étroitement serrée sur une broche.
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#8
01/09/2004 13:48:04
Ouais, j'entends bien, mais moi ce qui m'import c'est le resultat final... celui que je vais bouloter........avec ma biere........devant la télé,...........en rotant............la basse à mes pieds récoltant les restes de sauces qui tombent........ (chérie, promis je nettoie tout après.......)
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#9
01/09/2004 14:08:04
8

Je comprend pas bien ???

Pour des shish kebab. tu fais des brochettes normales.

Pour le Doner kebab, il te faut faut çà :

Slappyto

...et un grand couteau
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#10
01/09/2004 14:13:52
ce n'est pas de l'agneau ou du mouton dans les kebab?
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#11
01/09/2004 14:18:08
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Normalement c'est de l'agneau ...mais dans nos contrées ils le font avec du veau ....
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#12
01/09/2004 14:19:55
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Tu veux dire a Paris?
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#13
01/09/2004 14:21:06
Mets un chapeau, je te dis !!!!!!
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#14
01/09/2004 15:17:57
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C'est soi du veu, soit de l'agneu, soi du poulet, soi du boeuf, soit du porc (quoi non ? ah bon )
Nan serieu ça varie en fonction...
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#15
01/09/2004 15:27:47
Le kebab : grossière erreur
Résumé des derniers épisodes. Françoise Sellier a vu le monde entier s’abattre sur sa tête : le jour de la rentrée, son petit ami la laisse tomber pour s’enticher de Sophie Lafuma. Françoise décide de se venger en informant « qui-veut-lire » des pratiques pour le moins blâmables de cette empêcheuse d’aimer en rond. Françoise est alors tour à tour expulsée de son domicile et sollicitée comme assistante de son prof d’hagiozoonymie qui est lui-même compère et complice d’une équipe de Russes, dont les traits caractéristiques sont : ils puent l’ail et la vodka ; ils en veulent à notre héroïne. Après une course-poursuite folle dans la ville de Fribourg et des rêves agités, Françoise découvre au sortir du lit, émanant de son paillasson provençal, un homme qui se déclare être son protecteur.

Frank Brédine, officier de la brigade spéciale de l’AGEF, était comme un de ces nombreux puceaux que l’on rencontre à longueur de journées, de semaines, et de semestres dans tous les couloirs de l’université. Le cheveux gras et gominé, la tenue impeccable, l’allure tantôt fière, souvent apeurée, le regard sans aucune conviction. Le tout donnait un personnage « normal », qui ne savait pas faire la différence entre la simple amitié d’une fille, et les hypothétiques sentiments qu’elle pourrait lui témoigner. Il était enveloppé d’une odeur à filer le mal de mer, curieux mélange du dernier parfum à la mode et de ses exhalaisons personnelles. « Nez sensibles s’abstenir ! » Françoise Sellier avait déjà été saisie par la violence de la senteur que dégageait ce personnage lorsque ce dernier avait surgi comme par enchantement de son paillasson provençal. A vrai dire, c’est même cette odeur qui l’avait sortie de ses rêves. Elle avait à peine eu le temps de sortir de sa stupeur que déjà il l’avait obligée à se vêtir « convenablement », entraînée au restaurant, passé les commandes, le tout sans arrêter de parler.
Il travaillait pour le compte de la brigade spéciale de l’AGEF, celle-là même qui est censée veiller sur les multiples intérêts des étudiants. Sa nouvelle mission – puisqu’il l’avait acceptée – était de protéger Françoise, de jour comme de nuit, en tous les lieux et par tous les temps, comme un ange gardien, l’odeur en plus. Il aimait ce nouveau job qui lui permettait enfin de faire des choses concrètes. Avant cette promotion, il avait d’abord travaillé à la Section Surveillance Informatique, dans un bureau inconnu des étudiants, quelque part dans le labyrinthe de sous-sols de l’université, il ne pouvait d’ailleurs même plus en retrouver le chemin, tellement la salle était secrète. Il était alors chargé, avec quelques autres collègues spécialisés comme lui en la matière, de contrôler les réseaux informatiques de l’université et de les protéger des infiltrations et des tentatives d’écoutes émanant des services d’espionnages russes et américains. Le travail avait été de longue haleine, mais grâce à ses indéniables compétences, il avait fait du réseau informatique universitaire le net le plus fiable de la planète, et cela pour longtemps encore…
Un problème nouveau avait surgi : la façon dont les étudiants utilisaient l’outil informatique à leur disposition, et les sites peu recommandables et peu édifiants, sur le plan académique, sur lesquels ils se rendaient régulièrement. Il a alors élaboré un moyen de contrôle de tous les réseaux : il savait en temps réel sur quels sites quel étudiant allait faire ses recherches, pendant combien de temps il y restait, tout ce qu’il y faisait : le tout bien entendu, à l’insu dudit étudiant, qui se retrouvait tout simplement exmatriculé sur-le-champ.
Mais, toujours selon ses dires qui n’en finissaient pas, c’était un travail peu gratifiant et surtout peu stimulant. Il avait opté pour un poste où il serait plus actif, moins « Big Brother », et travaillerait du même coup réellement à la protection des intérêts des étudiants, et de Françoise, pour revenir à elle, au lieu de passer toute la journée dans l’intimité virtuelle de l’étudiant.

***

Il parlait toujours sans faire de pause, ni pour respirer, ni même pour s’inquiéter de son état à elle. Il n’avait pas entamé son repas. Françoise, elle, avait eu plus que le temps nécessaire pour achever son menu, pendant que Frank Brédine, « Grand officier devant l’Eternel », racontait narcissiquement ses nombreux exploits professionnels. Il avait faim mais, vu qu’il avait enfin trouvé quelqu’un – Françoise Sellier – pour l’écouter et pour rire de ses gags à sept centimes, il en profitait. Mais riait-elle réellement de ses gags et de la beauté de ses exploits, ou était-elle plutôt sonnée, abasourdie et encore incrédule devant l’ampleur qu’avait pris sa modeste vie ces derniers jours, qui semblaient être une succession d’horribles éternités, tellement elle voulait que tout cela s’arrêtât.
Pour lui, c’était bien clair, elle était sous le charme – car il y pensait de plus en plus : si elle ne l’avait pas encore renvoyé à son dentifrice, elle devait être en train de succomber à ce qu’il nommait son charme – et il ne lui restait plus qu’à concrétiser.
Françoise Sellier avait rendez-vous dans l’après-midi à l’agence de voyage de l’université, qui organisait des voyages d’agrément pour tou(te)s les étudiant(e)s de l’université, qui voulaient voir autre chose que la grisaille du ciel fribourgeois et ce qu’ils/elles prenaient pour la constante oppression de certains professeurs. Lesdit(e)s étudiant(e)s pourraient y rencontrer d’autres personnes et d’autres systèmes ; les comparer à tout ce qu’ils/elles avaient pu voir à Fribourg, pour mieux se rendre compte qu’on est forcément mieux dans cette université, symbole de la perfection.
Françoise savait bien que cette ville où elle étudiait n’avait pas son pareil. Toutefois, dans la situation où elle se trouvait, elle était prête à vivre l’enfer chez les autres, dans ces pays étrangers où il régnait forcément l’insécurité, la maladie, un enseignement médiocre…
Elle était prête à le supporter, en lieu et place de ce qui avait été sa vie ces dernières semaines.
Le rendez-vous avait été fixé quelques jours avant que ne se présente Frank, et depuis qu’elle l’avait rencontré, elle se posait la question du bien-fondé du voyage qu’elle s’apprêtait à solliciter. C’est vrai qu’elle en avait vu de toutes les couleurs avec les événements des derniers jours ; c’est vrai qu’elle a failli y laisser sa peau plus d’une fois ; mais depuis ce matin, depuis l’apparition (mal)odorante de Frank Brédine, elle venait de vivre une matinée d’accalmie : pas l’ombre d’un Russe ni celle d’un quelconque autre agresseur ! Si cet officier, Frank, était aussi compétent qu’il le déclarait, il n’y avait plus aucun risque que ses agresseurs osent encore montrer leur nez.
Pendant qu’elle y réfléchissait en marchant vers la gare, son garde du corps commençait à avoir réellement très faim. Il s’excusa de devoir aller chercher un kebab. Il s’était pourtant promis de ne plus en manger : leur ingestion lui infligeait des douleurs stomacales insoutenables. Il savait qu’un kebab lui serait un grand malheur ; mais présentement, il n’en pouvait plus d’envie. Pourquoi n’obligeait-on pas les vendeurs de kebabs à prévenir les clients-victimes du danger qu’ils risquaient, comme sur tous les paquets de cigarettes ? Pourquoi ne fournissait-on pas à chaque acheteur des pastilles sédatives, du dentifrice, et le numéro du médecin de garde ? Voilà des questions d’une extrême importance, qu’il examinerait une fois sa mission menée à bien. Il se mit dans les rangs, devant le kiosque du vendeur de kebabs.
Françoise attendait à l’abribus, en pensant avec effroi à l’haleine qu’aurait son ange gardien une fois le kebab ingurgité ; cette haleine, déjà putride, rendrait plus inextricable encore l’alchimie des senteurs de Frank Brédine ; et lui qui parlait sans cesse !

***

Elle aperçut soudain une fourgonnette noire aux vitres teintées qui s’approchait. Deux hommes en cagoule sortirent du véhicule en marche et s’emparèrent de Françoise avant qu’elle ait eu le temps d’appeler Frank au secours ; en un temps trois mouvements, elle était évanouie et allongée dans le bolide qui repartait en trombe.

Si vous avez tout lu, vous pourez constater qu'il n'y a aucun rapport....
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#16
01/09/2004 15:29:20
J'ai pas eu le courage de tout lire...mais les qq phrase que j'ai lu effectivement n'avait aucun rapport !
Tu nous a fait un pourrissage de topic tout a fait original !
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#17
01/09/2004 15:30:45
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Merci, ça se travaille...
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#18
01/09/2004 16:01:52
faut dire le topic etais deja pourri d'avance
mais jais tjrs pas compris le coup du

shish kebab = morceaux de viande grillés à la broche

doner kebab = viande étroitement serrée sur une broche.
bien qu'emerald soi expert...
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#19
01/09/2004 16:41:54
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ben la ca merite une palme

Slappyto

bravo, tu a des commentaires ou des remerciments a faire??
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#20
01/09/2004 17:02:09
Je remercie Emerald qui est une source inepuisable d'inspiration, le soleil de ce midi, et biensur le rosé.
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#21
01/09/2004 17:04:52
ahh le rosé
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#22
01/09/2004 17:20:20
Emerald, on peut faire sans l'appareil barbare ? Je veux pas ouvrir une boutique, je veux juste me faire un Kebab perso à la maison... y a bien une alternative pour un rendu approximatif....

J'ai lancé un topic incontrolable.. ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh !!!
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#23
01/09/2004 17:24:16
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Et bien l'intérêt du doner-kebab c'est d'avoir des petis morceaux de viande grillée.....à mon avis est préparant des lamelle de viande cuite sur une pierrade, tu ne dois pas être loin du résultat
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#24
01/09/2004 20:33:43
pour répondre à ????????? :
j'ai tout lu et ça parle bien de kebab!
et de la difficulté que l'on a parfois à le 'BURP!' digérer, ainsi que de l'haleine qui s'en suit (surtout avec la sauce blanche à l'ail! AÏE!!)

sinon l'idée d'Emerald n'est pad mauvaise, mais la viande du kebab est une viande reconstituée et épicée, ça ne va pas être facile à rendre en passant du carpaccio à la pierrade ! lol

Quel rapport avec la basse?

je vais essayer le kebabasse...




>>>>>>>>>>>clac<<<<<<<<<<
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#25
02/09/2004 11:31:12
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Désolé de te contredire mais le doner-kebab n'est pas de la viande reconstituée....c'est le kebab qui est de la viande reconstituée........nuance
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#26
02/09/2004 11:47:51
De toute façon c'est vrai que reconstitué ou pas, on les digere toute l'apres midi.:-S
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#27
02/09/2004 12:45:23
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C'est à cause de l'ail...pour mieux digérer l'ail, il faut couper la gousse ..... d'ail en deux et retirer le germe (vert pâle) qui est à l'intérieur.
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#28
02/09/2004 13:19:41
Pas evident a faire quand on l'achete
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#29
02/09/2004 13:37:58
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...t'as qu'à pas prendre de sauce blanche .... tu prends la rouge.


Faut choisir .... soit l'haleine fétide ....soit "l'oignon en fleur"
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#30
02/09/2004 13:40:54
Sinon tu prend ketchup/mayo et on en parle plus
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