Tiens un tit copier collé sur l'A4... a priori.. que du boooooooooonnnnnnnnnheurrrrrrrrrrrr.. la prose est pas de moi...
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cit...
Difficile de trouver un défaut à cette basse qui, si elle arborait un autre logo, ferait certainement un malheur. Reste à savoir si vous achetez une bonne basse ou une marque…
Bien qu'essayeur attitré de la maison et, par conséquent, ayant le redoutable privilège de tester les plus belles guitares (et basses !) disponibles dans notre beau pays de France, c'est toujours avec un immense plaisir que je m'attelle à l'étude d'une Cort. Car, quel que soit le modèle pratiqué, la finition, le confort de jeu, la prise en mains, sont parfaits. Bien sûr, il faut savoir raison garder et ne jamais oublier le montant de l'étiquette : un rapport qualité/prix signifie qu'on chante les louanges, le cas échéant, d'une basse en fonction de son tarif.
En l'occurrence, cette NA4 se situe idéalement en milieu de gamme ; un instrument évolué, intelligemment conçu, mais qui ne tente pas de rivaliser avec les fleurons de la lutherie américaine (au double, voire au triple, de son prix).
J'ai particulièrement goûté l'épais vernis transparent qui laisse apparaître un bois légèrement marbré du plus bel effet, ainsi que le principe du manche traversant. Certes, l'instrument peut paraître un peu lourd (et ce, pour les petits gabarits…) mais, corollaire de ce défaut, l'instrument sonne profond. Cela dit, je me suis toujours demandé si le problème résidait dans le poids intrinsèque de l'instrument ou dans son manque d'équilibre… Car, si la répartition dudit poids se fait idéalement entre manche et corps, les muscles du dos ne devraient pas trop souffrir ; et j'ai rencontré bien des basses qui, bien que présentant un poids acceptable, n'en devenaient pas moins de réels fardeaux après une ou deux heures de répétition ! En l'occurrence, que ce soit question lutherie ou sonore, cette NA4 se montre équilibrée en diable.
Pour en finir avec la description de la bête, signalons le nouveau type de chevalet, bien plus performant que celui proposé par la marque jusqu'alors. De la même façon, j'applaudis à deux mains le brave garçon qui a viré le sillet en plastique pour le remplacer par un modèle en laiton aussi séduisant que résistant. Je dois avouer que je fais partie du club des ennemis farouches du plastique et moins j'en trouve sur mes guitares, mieux je me porte !
Les mécaniques, à bain d'huile, offrent toute la précision requise pour remplir au mieux leur office. Efficaces, donc. En revanche, je suis resté quelque peu perplexe devant la poussée acnéique de la caisse : cet avalanche de boutons, en dehors du fait qu'elle n'est guère esthétique, m'a dérouté tout au long de l'essai. Evidemment, je ne doute pas qu'après quelques jours de pratique le problème soit résolu ; mais, autant j'ai apprécié l'égalisation à trois bandes, le split du médium pour un son plus précis en slap, autant je me suis emmêlé les crayons pour, au final, trouver le bon son. Faut dire que les Bartolini assurent, avec une sonorité bien ronde, comme je les aime, puisque alliée à un haut niveau de sortie.
Une basse évidemment destinée aux amateurs de fusion et de métal, de Red Hot Chili Pepper à Sum 41, alternative sexy aux modèles des autres marques dans ce même segment de prix.
Caractéristiques techniques
Corps et manche (conducteur) érable et wenge
Touche palissandre 24 cases
2 micros doubles Bartolini MK1
Electronique active
Egalisation 3 bandes
Accastillage chromé
Chevalet FB
Couleurs : naturel brillant, huilé
fin de Cit
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Désolé mais c'est long ..