Un peu d'histoire, car je pense que ce topic part en n'importe quoi. Il est évident que nous nous trouvons ici devant un des rares exemplaires au monde de basse Varvik. J'ai jugé bon de vous faire un petit dossier , car je suis étonné que personne ici n'en ait entendu parler...
UN PEU D'HISTOIRE
Vous pouvez ici voir une photo des frères Varvik, luthiers de pères en fils depuis des générations en Ouzbekistan.
D'un tronc d'arbre ils extraient le coeur (qu'ils appellent zdorskh) et le laissent sècher pendant 2 générations sur le mont zmadska (9234 mètres).
La marche pour aller faire sècher le morceau de bois est longue , et au moins un membre de la famille y meurt à chaque voyage. LE prix des funérailles est symboliquement ajouté au prix de l'instrument.
Les micros sont bobinés à la main avec un outil traditionnel hérité du trisaïeul, gnof Varviksen. Cet outil originaire des fjords norvégiens et -dit-on- fabriqué par le monteur de micro officiel du roi du cap nord, permet un filage du micro d'une précision diablolique, et décuple les facultés de celui qui joue l'instrument.
L'accastillage (knobvlgvsem comme ils aiment l'appeler affectueusement) est fondu sur place dans l'or le plus pur et seules les pièces les plus parfaites et exemptes de tout défauts sont gardées. Le reste est reconverti en boutons de manchettes pour la messe du dimanche (les frères varvik sont très croyants)
la suite du dossier quand j'aurai cuvé