C'est le progrès...

Je suis pas tellement d'accord sur l'amélioration des systèmes d'amplifications, peu sont capables de vraiment bien restituer les graves, de toute façon bien entendre une basse (dans un son classqiue) demande en général un effort d'écoute peu importe la sono

Je comprend et compatie donc, bigbass...
J'ai déjà évoqué le sujet des medium dans un topic, en substance ça disait que progrès ou pas dans l'amplification, quand plusieurs gars jouent ensemble le bassiste passe inaperçu s'il n'a pas soigné, voire s'il a négligé ses medium; bref, l'équalo flatteuse qui marche bien dans sa chambre, à savoir la "moustache inversée" (basse à fond, medium creux et aigus à fond) est à proscrire, à moins d'avoir une très bonne basse riche en bas medium (style YC de Noguera).
Le secret pour qu'une basse perce le mix? Les haut medium pardi!!

Donc Pasto l'avait bien compris, et je pense qu'aujourd'hui encore il favoriserait cette fréquence, même en jouant sur un Markbass ou un Eden!! D'ailleurs la plupart des stars de la basse d'aujourd'hui le font...

 tiens tiens on aborde des questions de mix... c'est bien qu'il y en ait qques uns qui se posent certaines questions !

Ca doir leur faire mal quand même, d'entendre un son pourri, après tout ce travail...
 

l'idéal au mixage (en tout cas on avait essayé de le faire sur notre démo à l'époque), c'est de multiplier les conditions d'écoute différentes : à savoir des HP type "moniteur" avec un son flat (réellement flat, et en général la basse y est pas à son avantage), une config style "chaîne moyenne de salon" (en général déjà préétudiées pour compenser la perte de certaines fréquences et -prfois- des baffles pas souvent hénaurmes) et une config de type "autoradio".
Après avoir écouté tout ça, on peut déjà réorienter son mix (et hop la magie du compresseur multibande) en se disant que le public lambda écoute plus souvent dans les conditions 2 & 3 que la première citée...

pour répondre à bigbass, je pense plutôt que la multiplication des cordes basses s'est faite pour répondre à une tendance rencontrée de plus en plus dans la musique actuelle : le besoin de (infra-)basses qui sont une des données les plus essentielles des musiques de danse (ou de "trip") actuelles : dans les boîtes, c'est même plus du beat lourd qu'on entend, parfois c'est une espèce de long ronflement métallique, on va au-delà de l'intelligible, plutôt vers la sensation corporelle. Toujours plus bas. Encore une autre course.