Ton plan me semble un peu bateau, je te suggère parler de la dramaturgie grecque, qui se fonde sur la catharsis (hop! tu cases Aristote, ce que te dit Carkefou), qui implique une identification du spectateur au personnage, en contradiction avec la première partie du XXème etle théâtre abstrait, not. Brecht, qui affiche sa volonté de briser l'illusion réaliste, afin que le spectateur soit toujours conscient d'être au théâtre ( ex : la lumière s'allume en plein milieu de la pièce)
Je ferai un truc du genre I La vision classique du théatre ( Aristote), II Le conformisme du théâtre l'éloigne de la réalité (Rigueur de la forme, des décors : Not avec les auteurs classiques! Phèdre de Racine, Corneille...), III XIXeme, XXeme siècle Un gain de liberté dans la forme qui rend le théâtre plus proche du réel, parallèlement on conçoit qu'il s'en éloigne complètement : théâtre abstrait, voire absurde avec Beckett, Ionesco jusqu'à Brecht qui renie la réalité qui ne saurait être qu'une illusion et qui parle "dramaturgie aristotélicienne" (la boucle est bouclée)
Bon moi je dis ça mais ça fait 2 ans que j'ai mon bac L, il est 1h du mat' et je t'ai pondu ça en deux minutes, mais en gros change ce plan Pim pam poum, pour un plan à idées, en considérant la volonté des auteurs au fil des siècles, et en quoi cette volonté est extrême à chaque fois, pour en arriver au théâtre moderne, qui joue avec ces contradictions en mêlant sans scrupules les mythes qui se veulent réels de l'antiquité et l'absurde. ( Case Albert Camus et "Les mouches" par ex en conclusion les profs adorent)
Pour les pièces et les auteurs, tout est sur le net, l'ami Google t'aideras volontiers. Bon bah c'est pas le tout mais je retourne me plonger dans les finances publiques moi! J'ai un problème précis avec l'indépendance des comptables publics, quelqu'un pour m'aider ^ ^?