Dans un soucis d'éviter à certain d'être des acteurs involontaires d'un "révisionnisme" de l'histoire du R'n'r, je ne saurais trop leur conseiller de lire cet ouvrage...
un livre récent et sérieux sur la période Punk
PLEASE KILL ME
en voici une critque:
" l’histoire non censuré du punk racontée par ses acteurs »Legs Mcneil § Gillian Mccain (Editions ALLIA ). La genèse version grandeur et décadence vue des coulisses , du trottoir et du caniveau et même de la morgue du punk rock New-yorkais parfois en transit Londonien ! Quelques mots clefs : rejet des utopies moribondes de la génération beatnik ,ennui mortel et misère sociale, explosion artistique et délinquance juvénile, sexe débridé et polymorphe et des tombereaux de drogues et d’alcools sous toutes leurs formes... Le creuset de toutes les mythologies du cirque rock§rollesque. Le tout sous la forme d’interviews croisés des témoins directs : musiciens, roads, managers, dealers, groupies, journalistes, artistes... C’est sur la litanie souvent pathétique et glauque donnent le tournis , beaucoup de morts et d’illusions perdus en route? Qui à dit que le « rock ! roll était la dernière aventure du monde civilisé » ? Please Kill Me en est la parfaite démonstration ! Des Noms : Velvet underground, Stooges, MC5, dead Boys, Ramones , Television, Blondie, Suicide, sex pistols, Patti smith, New York Dolls, Heartbreakers et consorts. Historique et stupéfiant!!!!!!!!!!!!!! jl dmk
une autre
"Tant qu'on n'a pas lu ce livre, on ne sait rien sur le punk. Même en ayant vécu l'époque, en ayant aimé les groupes, on a encore beaucoup à apprendre. On peut posséder de nombreux souvenirs, des impressions fortes, des bribes d'infos, mais rarement l'extraordinaire vision globale et intime du mouvement qu'offre cet ouvrage. Constitué de centaines d'heures d'entretiens avec les acteurs majeurs du mouvement dès ses débuts aux Etats-Unis, "Please kill me" est l'occasion unique de comprendre la génèse et l'esprit du punk de l'intérieur, mais aussi son cheminement, des Etats-Unis vers l'Europe. Ou comment la scène punk britannique s’est inspirée, via le passeur opportuniste Malcolm McLaren, de la scène américaine et du fantasme de violence (injustifié) qu’elle avait d’elle. "
la suite là
Pour certain se sera l'occasion de satisfaire leur réel interêt sur cette période de l'histoire du rock'n'roll ... pour d'autre le moyen d'arrêter de dire n'importe quoi (de bonne foi, mais n'importe quoi quand même)