Et hop !
JP Basses Lucii, fretless
6 cordes single cut
Corps: limba, semi hollow body (il y a des chambres de résonance)
Table et dos : Koa, avec les fameuses fesses qui lui ont valu son surnom, tête assortie, finition huilée.
Manche: 34'', wenge
Touche : bois de palme stabilisé (injection de résine dans le bois), très dur et résistant à l’agression du filet rond
Hardware : Hipshot ultralight
Micros : Kent Armstrong, modèle JP
Piezos: Graphtec (1 capteur par corde sous chaque pontet du cordier), JP me les a installés spécialement.
Electronique : John East 9V (vol micros , balance, vol piezos, low, high, switch actif/passif, switch bright) On peut mixer les micros et les piezos ou bien n'avoir que les uns ou les autres.
Poids: moins lourde que mon ex Stingray 5, mais plus lourde que mon actuelle Stingray 4.
J’ai acheté cette basse en 2006 à un musicien californien que certains ici ont connu. D’abord montée en filet rond pour faire du metal prog ( si si !), puis en filet plat, elle a aussi fait beaucoup de jazz, raison pour laquelle j’ai fait installer des piezos. Je voulais approcher un son de contrebasse, je n’ai pas été déçu.
Quel que soit le type de corde, elle mwaaate parfaitement. On passe du son Pasto au son upright en un rien.
Confort de jeu, un régal, rien ne frise, l’action est basse.
Elle partira contre 2000 euros (prix ferme), avec un étui semi rigide, fdp partagés sur la France Métropolitaine, ce qui représente un peu moins de la moitié du prix de cette basse lorsqu’elle est originellement sortie de chez JP. Avec un soft case adapté.
Je ne suis pas pressé, prenez le temps de la réflexion car elle est un instrument d’exception que l’on doit être fier d’exhiber mais aussi et surtout, de jouer.